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Valérie Valère ou l'Obsession Blanche

Installation, deux écrans plexiglass projetant court-métrage son et noir et blanc, 1m30 sur 1m30, machine à écrire qui tape toute seule et miroir. 

L’installation transpose l’intériorité de Valérie dans un environnement extérieur. En déployant deux écrans dans une scénographie, il est possible de se projeter dans deux espace-temps liés mais différents. Le spectateur peut se mouvoir dans le décor du bureau de Valérie Valère. Il navigue ainsi entre les fictions et des éléments de vie de l'écrivaine. L’hybridation film-installation crée une connivence entre réalité et fiction. Cela joue sur les différentes dimensions de biographie mis en scène par Valérie elle-même. 

Contemplation, Elina Kastler 3_1.21.1.ti

Installation vidéo de deux écrans, 6min12, 2020.

Avec l'aide d'Hugo Daures et Philippe Delesalle. 

Contemplation est une installation vidéo de deux écrans qui met en parallèle la perte de la vue ainsi que l’avancée des nouvelles technologies qui permettent de « mieux voir ». Elle explore les possibilités visuelles qu’offrent les technologies ainsi que les perceptions qui s’ouvrent à l’humain lorsqu’il fait face à la cécité. Contemplation délivre une autre perception de la réalité grâce à l’outil même de la caméra et du montage. 

Contemplation

Capture d’écran 2020-01-02 à 21.28.38.

Installations sonores, plastiques et visuelles 2018-2019. De et par l'Association Trapnart. 

La Trappe est un dispositif d’installations plastiques, sonores et visuelles crée par l’association Trapnart. L’objectif est de s’emparer d’un lieu comme corps de concept permettant d’expérimenter un nouveau rapport à l’image. La Trappe dédit chaque pièce du lieu à devenir un terrain d’exploration, avec des jeux sonores et visuels. Le public est libre d’y circuler et de s’y intégrer pleinement. A l'aide d'ateliers de pratiques artistiques, les spectateurs deviennent acteurs du processus de création du lieu. 

La Trappe 

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30 photographies, couleur, papier semi-mat, 2018.

Les Mains est une série de photographies prises durant les manifestations du printemps 2018 à Paris. Le danger de l’image en manifestation est très présent : éviter les représailles judiciaires, éviter de fausser un discours, ou informer partiellement -voire faussement. Que montrer alors ? Comment mêler le « voir » et le « savoir » lorsque les images affublent, qu’elles sont partout, dans les médias, à la télé, dans les rues. En s’inspirant des questionnements de Harun Farocki, la série propose de regarder autrement ce qui se déroulent dans les manifestations.

Les Mains 

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